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Toutes les actualités quotidiennes des noms de domaine internet

Mercredi 21 juillet 2010 à 15:55

Le vécu d’un nom de domaine, ie. ce à quoi celui-ci a été confronté par le passé, influe-t-il sur le référencement ?

Compte tenu du fait qu’un nom de domaine ait pu être utilisé à des fins de spam ou avoir été sujet à des pratiques interdites par les webmaster guidelines – utilisation black hat par exemple -, la réponse de Matt Cutts est assez clairement oui.

Celui-ci conseille même de faire une étude dans le cadre d’acquisition de nom de domaine afin de s’assurer qu’aucune pénalité n’est appliquée par Google. Il ne mentionne cependant absolument pas la fonctionnalité de demande de réexamen des Google Webmaster Tools qui pourrait pourtant être la solution au problème énoncé.

Il faudrait alors passer à côté du nom de domaine parfait sous prétexte qu’un détenteur en ait eu une utilisation abusive par le passé ?

Source: Waebo.com

Mercredi 21 juillet 2010 à 14:20

Au plus tard début 2011, les premiers noms de domaine en ".xxx" devraient apparaître sur internet. Mais les éditeurs de sites français sont dubitatifs. S'ils déclarent vouloir pré-réserver leurs noms de domaine, c'est plus pour lutter contre le cybersquatting que par conviction de son intérêt.

L'Icann, organisme californien qui gère les noms de domaine Internet pour le monde entier, a accepté fin juin d'étudier à nouveau la création d'une extension ".xxx" spécifiquement dédiée aux sites pornographiques, et rendra sa décision finale d'ici à la fin de l'année. Son arrivée est prévue pour début 2011, peut-être même avant. Une décision qui satisfait pleinement ICM Registry, société à l'origine de cette demande.

Depuis six ans, la société bataillait ferme afin d'obtenir l'approbation du Government Advisory Comittee, instance qui, au sein de l'Icann, regroupe l'ensemble des représentants des pays membres. Depuis sa première requête, en 2004, l'argumentaire de l'ICM Registry repose sur un constat des plus basiques : le sexe fait l'objet d'un développement spectaculaire sur la Toile avec quelque 370 millions de sites dédiés. Les chiffres notamment compilés aux Etats-Unis se passent de commentaires : chaque seconde, plus de 3.000 dollars sont dépensés sur des sites X dans le monde, 25% des recherches effectuées sur des moteurs de recherche sont liées au sexe, 35% des téléchargements concernent des contenus pornos, et le chiffre d'affaires mondial du X sur Internet approche les cinq milliards de dollars.

Zone à risque pour le e-commerce

Pour autant, cette industrie reste opaque. Les sites "officiels" ayant pignon sur rue côtoient des entités beaucoup plus louches, aux contours indistincts, et où les arnaques sont monnaie courante. Conséquence directe : outre une image sulfureuse, l'industrie du porno en ligne constitue encore une zone à risque pour le développement du commerce électronique. D'où l'idée de lui attribuer une extension dédiée, qui faciliterait le contrôle des sites l'utilisant, leur apportant du même coup une certaine crédibilité commerciale. Par ailleurs, le regroupement au sein d'une extension unique permettrait une plus grande efficacité des systèmes de filtrage pour la protection des mineurs et la lutte contre la pédophilie.

Stuart Lawley, patron d'ICM Registry, déclarait le mois dernier qu'il comptait déjà 112.000 acheteurs pré-enregistrés pour des adresses en .xxx, la plupart d'entre eux opérateurs de sites Internet pornographiques. Mais s'il s'attend visiblement à une explosion des pré-réservations suite à l'annonce de l'Icann, ce n'est pas forcément le signe d'une adhésion massive de la communauté du X aux arguments avancés par ICM Registry.

Les éditeurs de sites X français pas emballés

En France, au sein de la société de production Marc Dorcel, on reste dubitatif quant à la pertinence de cette nouvelle extension : "On l'utilisera, mais je ne suis pas sûr que cela ait un intérêt majeur, estime Ghislain Faribeault, responsable des nouveaux médias. De toute façon, nous avons acheté toutes les extensions possibles. Notre pré-réservation pour le .xxx est faite. Je n'ai pas envie qu'un Dorcel.xxx déposé par quelqu'un d'autre se ballade sur la Toile". Le risque éventuel d'une exploitation de marque frauduleuse constitue visiblement un argument autrement plus sérieux que les raisons invoquées par ICM Registry.

Un sentiment partagé par Vincent Gresser, directeur général de la société de production Colmax, dont l'extension en .xxx est également réservée mais qui n'est pas certain de vouloir l'utiliser: "Son impact ne sera pas déterminant. Finalement, cela risque de 'ghettoiser' encore un peu plus une activité qui n'en pas besoin. Il existe différents types de contenus. Il ne faut pas tous les mettre dans le même panier en faisant un amalgame", juge-t-il.

Chez Rentabiliweb, groupe spécialisé sur la monétisation d'audience, on ne se sent guère concerné par cette initiative. Le site, qui a revendu les 9/10ème des sites de charme acquis lors du rachat du groupe Montorgueil pour n'en conserver que deux ou trois, s'estime "incompétent" en la matière : "Nous gagnons plus d'argent dans le jeu que dans l'adulte. Et, si d'aventure, quelqu'un nous prend une extension, nous lancerons une procédure. C'est tout.", rétorque-t-on au sein de Rentabiliweb.

D'autres acteurs se sentent un peu contraints et forcés de postuler. C'est le cas de Richard Fahl, le directeur général des Editions Concorde : "Sur le principe, je suis contre. C'est référencer l'industrie du X pour, à la première occasion, l'enfermer dans un ghetto. 70% des Français consomment régulièrement des films X, des sex toys ou de la lingerie coquine. Les mettre et nous mettre dans un ghetto n'est pas très agréable. D'un autre côté, nous avons affaire à des mastodontes sur ce marché. Donc oui, nous allons nous pré-enregistrer", explique-t-il.

Source: L'Expansion

Mercredi 21 juillet 2010 à 12:42

Quel meilleur nom de domaine choisir pour un casino online que le nom de domaine slot.com ? Dans la guerre absolument fratricide que se livre les casinos online, il n'est pas étonnant de constater désormais que certains casinos sont prêt à racheter des noms de domaine pour une véritable petite fortune… Les propriétaires de ces noms de domaine n'auront d'ailleurs aucun mal à amortir leurs investissements.

Le propriétaire de Casino.com peut en effet être très fier de posséder l'un de noms de domaine les plus convoités de la planète. Avec un tel nom de domaine, la société qui le posséde est beaucoup plus crédible vis-à-vis des joueurs.

D'autres noms de domaine sont également très largement convoités : Slot.com, qui a été vendu la dernière pour la somme absolument faramineuse de 4 millions d'euros… De quoi faire rêver pas mal de propriétaires de noms de domaine. Il faut avouer que ce nom de domaine est très stratégique… Meilleur créditibilité, meilleur positionnement sur les moteurs de recherche sur des expressions très concurrentielles et donc un bien meilleur chiffre d'affaires.

Mis en vente dernièrement par son propriétaire. Le nom de domaine avait alors été réservé pour la première fois en 1995. Le nom de domaine signifie « Machine à sous ». Le nom de domaine recevait environ 15 000 visiteurs uniques par mois.

Derrière toutes ces ventes se cachent en réalité un business hors du commun : celui des marchands de nom de domaine. Leur business : acheter aux débuts de l'Internet des noms de domaine très stratégiques (sex.com, slots.com, casino.com,….) contenant des expressions très concurrentielles, dans le but de les revendre ensuite quelques années plus tard à des prix défiant toute concurrence à des grosses agences. Un business qui peut même être très rentable lorsque l'on sait qu'un nom de domaine peut s'acheter à seulement quelques euros (à partir de 5 euros environ). Le propriétaire de slots.com est ainsi parvenu à générer plus de 5.5 millions de dollars, étant donné que le prix d'achat du nom de domaine est plus que marginal (en 1995 quelques centaines de dollars à peine).

« C'est un business qui ne devrait pas être tolérer… Il y a plusieurs millions de noms de domaines qui ne sont pas utilisés dans le monde, ce qui peut ainsi provoquer beaucoup de confusion dans l'esprit du visiteur. L'ICANN devrait tout simplement interdire à des entreprises de réserver ce type de nom de domaine si ils ne les utilisent pas pendant plusieurs années… ce qui est le cas de la majeure partie de ces marchands de noms de domaine ! » déclare un responsable d'une grosse web-agency Parisienne.

En attendant, tous ces marchands de noms de domaine peuvent dormir sur leurs deux oreilles. A l'heure actuelle, avec plus de 100 millions de noms de domaine enregistrés dans le monde, la tendance n'est pas prête de s'arrêter. Le problème c'est que plus il y a de nom de domaine réservé, et moins il y a en a de disponible sur le marché… et donc plus la valeur de tous ces noms de domaine réservés par ces experts du web s'envole !

Casino.com et slots.com sont déjà réservés par des gros casinos online ! A quand la prochaine vente   d'un super nom de domaine orienté dans le secteur des casinos en ligne ?

Réponse dans probablement quelques mois !

Source: Platinum Casino

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