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Toutes les actualités quotidiennes des noms de domaine internet

Vendredi 7 janvier 2011 à 11:11

C’est désormais une réalité : la Pologne vient officiellement d’enregistrer son deux millionième nom de domaine avec l’extension nationale « .pl ».

L’information a été officiellement confirmée par le NASK, qui gère l’attribution et la gestion des noms de domaine dans ce pays. Il s’agit d’une étape importante pour le secteur du e-commerce en Pologne, dont le dynamisme est de nouveau confirmé.

La barre des 2 millions de noms de domaine en « .pl » a été officiellement franchie dans la nuit du 3 au 4 janvier 2011 avec l’enregistrement de l’adresse « tu-tam.pl« , qui bénéficie ainsi – dès son dépôt – d’une publicité inespérée.

Le dernier recensement faisait état de 1,8 millions de noms de domaine en mai dernier et il n’aura donc fallu que quelques mois pour glaner les 200 000 domaines manquants.

Selon les analystes, la Pologne est ainsi le pays en Europe qui connaît actuellement la plus forte croissance du dépôt de noms de domaine et la tendance ne devrait pas ralentir pour autant. Elle occupe actuellement le 5ème rang européen des pays dont les noms de domaine nationaux sont les mieux représentés et se rapproche à grand pas de son concurrent italien qu’elle pourrait bien dépasser d’ici quelques mois…

En attendant, les journalistes se plaisent à souligner qu’il aura finalement fallu attendre 17 ans pour atteindre le premier million de noms de domaine (atteint début 2009) mais seulement  2 ans pour que cette proportion double.

[Via : Lanpolis.pl]

Auteur: Laurent JERINTE OU GERENTE – Spécialiste des nouveaux médias en Pologne

Source: Laurent-Jerinte.com

Lundi 15 novembre 2010 à 10:59

Flash Info  -  Novembre  2010 -  NAMEBAY  | créateur de noms de domaine

VOUS AUSSI, VOUS AVEZ DROIT A LA SECURITE
Namebay lance ses nouvelles offres SSL accessibles à tous !

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Les nouvelles offres SSL sont là !

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Lundi 25 octobre 2010 à 11:17

Il reste moins de 5% de blocs d'adresses IPv4 non-alloués, selon Number Resource Organisation, l'autorité chargée de gérer les adresses IP et de les distribuer aux fournisseurs de noms de domaine.

A l'origine, 256 blocs étaient disponibles pour les adresses IPv4. Il en reste une douzaine, dont deux qui sont gérés par l'APNIC pour la région Asie-Pacifique. En clair : « si vous n'avez pas prévu de migrer vers l'IPv6, vous n'existerez pas dans le futur, » selon le directeur de NRO, Axel Pawlik. « Si vous ne vous réveillez pas et que vous ne faites pas quelque chose maintenant, vous en paierez les conséquences plus tard. »

Un message d'avertissement adressé aux fournisseurs de nom de domaine, qui vont subir de plein fouet la pénurie d'adresses IPv4. Il en restait 10% en janvier dernier, il n'y en a plus que 5% aujourd'hui. Certes, la baisse de leur nombre ralentit - ne serait-ce que parce que certains prennent les devants et passent à l'IPv6, qui offre bien plus de possibilités d'adresses libres - mais NRO estime qu'il n'y aura plus d'adresses IPv4 disponibles au début de l'année 2011. Et les autorités d'enregistrement de noms de domaines pourraient être à court en janvier 2012. Voire avant.

Chacun des douze blocs restants représente une capacité de 16 millions d'adresses. Définies dans les années 1980, les adresses IPv4 ne devraient pour autant jamais vraiment disparaître. « Il y aura toujours bien une machine qui aura besoin des deux, » explique Pawlik. Pour autant, la fin des distributions d'adresses IPv4 est attendue depuis longtemps, puisque les premiers appels à passer à des adresses à 128 bits - au lieu des 32 de l'IPv4 - datent d'il y a plus de dix ans. Et que la spécification de l'IPv6 a été publiée en 1995.

Source: Clubic
Auteur:  Antoine Duvauchelle

Lundi 25 octobre 2010 à 11:07

Il y a quelques mois, l'ICANN qui gère, régule et administre Internet (pour faire simple) a donné son accord au lancement d'une extension en .XXX. Évidement tournée vers l'industrie du porno, cette particule ultra parlante fait l'objet de nombreuses tractations. D'un côté les ''pour'' qui y voient un moyen de clarifier les choses et développer encore plus le business et de l'autre, les ''contre'' qui considèrent qu'accepter une telle extension serait comme reconnaitre l'existence et la légitimité d'une telle économie (choking!!). Quoi qu'il en soit, le projet est plus ou moins sur les rails et la société qui s'est vu accorder le droit de gérer la vente des NDD par l'ICANN a déjà lancé les opérations avant même l'accord final (qui doit venir du gouvernement américain). Tablant sur une ouverture au premier trimestre 2011, ICM Registry propose donc de préréserver des noms de domaine. Et le moins que l'on puisse dire c'est que l'emballement est total puisqu'il y a déjà plus de 183 000 noms de domaine prédéposés. C'est tout simplement du jamais vu. Si vous êtes intéressés par ce marché, dépêchez-vous. Il n'y a que 2 contraintes, posséder l'équivalent du nom de domaine visé en .com ou autre et réserver moins de 1000 noms de domaine. A vous de jouer maintenant.

Source: LOL.net

Lundi 27 septembre 2010 à 10:30

L'association française de nommage Internet déploie le nouveau protocole DNSSEC mieux sécurisé face aux attaques des serveurs DNS par empoisonnement de cache. Reste à convaincre les registrar et utilisateurs de l'adopter.

Comment sécuriser davantage les transactions en ligne? L’une des réponses s’appelle DNSSEC (Domain Name System Security Extensions ) que l’Afnic (Association française pour le nommage Internet en coopération) est en train de déployer dans la zone France (.fr) et Réunion (.re).

Cette nouvelle mesure de protection a été abordée suite à la découverte d’une faille dans le protocole DNS en 2008 par le chercheur en sécurité Dan Kaminsky. La vulnérabilité était susceptible de faire tomber le Web en menant une attaque par empoisonnement de cache. Une menace qui a mobilisé gouvernement et grands groupes à l’époque entraînant une prise de conscience sur la nécessité de déployer le protocole DNSSEC des acteurs de l’Internet (nommage, télécoms, hébergeurs…).

Un déploiement qui concerne en premier lieu les gestionnaires de serveurs DNS, les bureaux d’enregistrement et les FAI. Mais leur volontarisme est inégal, notamment en raison des coûts financiers inhérents. Ce qui est d’autant plus problématique que l’efficacité du protocole ne portera ses fruits qu’à travers une implication et une appropriation globale de tous les acteurs. « Une attaque par empoisonnement de cache est toujours possible. On considère que 20 à 25% des serveurs dans le monde ne bénéficient pas d’une vraie mise à jour de sécurité », Mathieu Weill, directeur général de l’Afnic selon des propos cités par ITespresso.fr.

Rappelons que le DNSSEC n’est pas une nouveauté technique. L’IETF (Internet Engineering Task Force) l’a scruté dès 1995 et la Suède s’est montrée précurseur dans son adoption en 2007. Puis des pays comme la Bulgarie, le Brésil ou le Porto-Rico ont suivi… L’Afnic suit aujourd’hui le mouvement d’adoption devenu «mainstream», selon Mathieu Weill. A ce jour, une quinzaine de registres ont déjà signé leurs zones… « Toutes les extensions nationales devraient signer cette année », estime le directeur. La racine elle-même du DNS (gérée par l’ICANN et VeriSign) a été signée en juillet 2010. L’an prochain, ce sera au tour du plus générique des noms de domaine : «.com» (90 millions dans le domaine) alors que la conversion DNSSEC du «.org» a été effectuée en 2009.

Au tour, donc, de l’Afnic d’agir. Le 14 septembre dernier, le déploiement de DNSSEC en France a débuté avec la signature du «.fr» et du «.re». Prochainement, la clé publique de chiffrement associée au «.fr» sera publiée dans les serveurs racines. Ce qui bouclera la procédure technique. Mais, pour l’association de nommage, le plus gros effort reste à venir : informer le grand public, vulgariser, former les administrateurs de gestion DNS (FAI, hébergeurs, centres de bureau d’enregistrement…). « Ce n’est pas obligatoire de déployer le DNSSEC mais nous estimons que c’est une responsabilité à chaque niveau », précise Mathieu Weill. Pour faciliter l’appréhension, l’organisme proposera bientôt la version 3 de ZoneCheck, son outil de test de configuration DNS (logiciel libre sous licence GPL et gratuit).

Quel sera le coût de déploiement de DNSSEC pour gestionnaire de DNS? « Le budget sera variable. La fourchette de prix variera en fonction du degré de maîtrise escompté, explique Mathieu Weill, à l’Afnic, on ne fera pas payer une empreinte de clé dans notre système. » Les bureaux d’enregistrement de noms de domaine pourront cependant répercuter le coût de mise à jour sur la facture de leurs clients.

Source: Silicon.fr

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