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Toutes les actualités quotidiennes des noms de domaine internet

Mercredi 28 avril 2010 à 12:20

Google a passé plus d’un an à analyser des millions de pages pour évaluer la présence de malwares liés à des noms de domaine : 15% des menaces détectées sont de faux antivirus.

La propagation de logiciels malveillants suit des tendances. Parmi les plus répandues, l'arnaque au faux antivirus semble monter en puissance. C'est en tout cas ce que Google dit avoir constaté en menant une étude sur le sujet, dont les résultats ont été présentés le 27 avril lors de la 3e édition du Large-Scale Exploits and Emergent Threats.

La pub, principal vecteur de diffusion

Après avoir compulsé quelque 240 millions de pages web sur une période de 13 mois, Google a découvert 11 000 noms de domaines impliqués dans la diffusion de faux antivirus renfermant un malware. Un chiffre en hausse qui représente 15% du total des logiciels malveillants détectés par Google.

Dans le détail, l'étude révèle également que les publicités sont l'un des principaux vecteurs de diffusion pour ce type de logiciel malveillant. Les faux antivirus comptent pour 50% des malwares diffusés via des publicités piégées ; un chiffre qui a été multiplié par 5 en un an. (Eureka Presse)

 

Source: www.zdnet.fr

Mercredi 28 avril 2010 à 11:58

Coup de froid sur les services alternatifs reposant sur les fichiers hébergés par RapidShare. En effet, la société allemande a décidé de faire la chasse aux sites utilisant son nom pour mettre en avant des contenus piratés. Un changement de cap notable donc, pour un service qui a pourtant construit une grande partie de sa notoriété sur la violation du copyright.

Il ne fait pas bon ces derniers temps d'avoir un nom de domaine commençant par "rapid". Surtout si la principale activité du site web en question réside dans la promotion de contenus piratés. En effet, Torrentfreak a rapporté hier que RapidShare, le fameux service allemand spécialisé dans l'hébergement de fichiers, a commencé à faire la chasse aux sites web qui exploitent la popularité de son nom de domaine.

"Nous sommes en train d'intensifier nos efforts pour contrer ce genre de sites, notamment contre les moteurs de recherche éponymes et les individus qui abusent de notre marque afin de distribuer des contenus protégés par copyright" a écrit le directeur exécutif de RapidShare, Bobby Chang, à l'attention de l'industrie du divertissement. Cette déclaration n'est pas forcément surprenante, dans la mesure où la société commence à adopter une nouvelle stratégie face au piratage des contenus.

Il faut dire que les ayants droit ont mené la vie dure à RapidShare. Depuis 2007, les condamnations se sont enchainées, notamment du côté de la justice allemande. À plusieurs reprises, et en fonction des plaintes, les différents tribunaux ont exigé la mise en place rapide et efficace de filtres visant à bloquer la mise en ligne de certains contenus piratés. Dernièrement, c'est la plainte de six éditeurs allemands qui a fait l'actualité, avec à la clé la mise en place d'un dispositif pour empêcher l'envoi de 150 livres numérisés.

Ainsi donc, parmi les sites ciblés par RapidShare, nous retrouvons des sites comme Rapidshare.net, Rapidshare4movies.com ou encore Rapid.org. Si nos confrères anglophones n'ont pas eu l'occasion de recueillir les réactions de tous les responsables, ils ont cependant interrogé le fondateur de Rapid.org sur ce sujet. "Nous n'allons pas nous conformer à ces menaces ridicules, comme leur demande d'abandon de notre nom de domaine, et nous allons continuer à bâtir notre communauté" a-t-il affirmé.

Et en cas de mauvaise surprise, tout serait prévu : "si à un moment où à autre il devient nécessaire pour nous de trouver un nouvel hébergeur de fichiers ou de mettre carrément en place le nôtre, nous en sommes tout à fait capables et sommes disposés à le faire". Reste que, si c'est peut-être le cas pour RapidShare, tous les sites web du même genre n'ont pas forcément les épaules pour faire face à ces menaces judiciaires.

À première vue, la décision de RapidShare est incompréhensible. En effet, les sites visés par l'entreprise allemande n'aspiraient nullement le contenu hébergé sur les serveurs. En réalité, ils ne proposaient généralement qu'un simple moteur de recherche dédié, pour aider les internautes à dénicher le contenu souhaité. En d'autres termes, les Rapid.org et compagnie redirigeaient tout bêtement leur trafic directement vers RapidShare.

C'est d'ailleurs ce qu'a rappelé le fondateur de Rapid.org : "nous trouvons ça incroyable, si l'on considère le volume de trafic  et le nombre d'abonnements premium que nous envoyons à RapidShare, qu'ils nous ciblent de façon si agressive et s'aliènent leurs propres clients". Nul doute qu'une telle décision risque d'affecter significativement la notoriété de RapidShare, d'autant que le site a beaucoup oeuvré pour s'imposer comme un incontournable du secteur.

D'une certaine façon, ce n'est pas sans rappeler la stratégie adoptée par YouTube pour gagner en popularité, et devenir au final le numéro 1 des plates-formes vidéos. Pour y parvenir, le site racheté par Google en 2006 a tout simplement choisi de pactiser avec le diable, en adoptant une posture particulièrement laxiste vis-à-vis du respect des droits d'auteur et du copyright, afin de gagner encore et toujours plus d'audience.

Or aujourd'hui, cette popularité est paradoxalement la principale source d'ennuis pour YouTube. Il suffit pour cela de voir le montant réclamé par Viacom en vue du procès contre Google :  1 milliard de dollars de dommages et intérêts au site de partage de vidéos. Cependant, si le schéma est classique, la mise en oeuvre est différente.

En l'occurrence, YouTube n'a jamais attaqué d'autres sites. Et RapidShare craint que le droit des marques, sans doute le moyen le plus simple pour fermer ou déréférencer un site, finisse par mettre son nez dans cette affaire, sous l'action des ayants droit. Dès lors, RapidShare a une réaction épidermique en attaquant tous azimuts.

Source: Numerama.com

Mercredi 28 avril 2010 à 11:13

Jusqu'à tout récemment, les noms de domaines sur Internet comme ceux qui se terminent en «.com» étaient limités aux caractères romains.

La Jordanie est le plus récent pays à avoir obtenu une approbation préliminaire pour des adresses internet en caractères non romains.

Jusqu'à tout récemment, les noms de domaines sur Internet comme ceux qui se terminent en «.com» étaient limités aux caractères romains.

La Société pour l'attribution des noms de domaine et des numéros sur Internet (ICANN) est responsable des noms de domaines et travaille à élargir la sélection de caractères permis. Le suffixe de la Jordanie serait en caractère arabe.

L'ICANN a déjà donné son approbation préliminaire aux suffixes de huit pays et deux territoires et a amorcé des révisions techniques pour deux autres, la Chine et Taïwan. Une approbation finale est attendue afin que ces suffixes puissent être utilisés dès cet été.

Source: Canoe.com

Jeudi 22 avril 2010 à 10:22

Le plus grand changement technique sur Internet depuis son invention il y a 40 ans, est intervenu lundi 19 Avril avec la fin du monopole de l’alphabet romain sur le système des adresses en ligne pour les utilisateurs d’Internet et la mise en pratique sur une période d’essai de deux mois, de l’accord conclu le 11 novembre 2009 entre l’UNESCO et l’ICANN, (organisme chargé de la gestion des noms de domaine  mondiaux), qui permettra désormais de déposer des noms de domaine  utilisant des alphabets autres que romain, comme l’arabe, le japonais, le chinois ou le coréen.

Jusqu’à présent, les noms de domaine  dans les adresses internet (par ex. org ou com) n’utilisaient que des caractères latins. Lors de cette première phase d’essai qui a débuté lundi, l’ICANN va commencer à accepter des demandes de représentants de pays d’un peu partout dans le monde portant sur de nouveaux codes de pays en arabe, chinois et d’autres langues. Les utilisateurs de caractères non-latins pourront avoir accès à des adresses internet rédigées dans leur propre langue.

L’accord UNESCO-ICANN qualifié par les experts de ‘’grand pas vers une plus grande diversité linguistique sur le web’’, couvre un large éventail de domaines afin que les nouveaux développements puissent bénéficier au plus grand nombre de langues possible. L’UNESCO a notamment mis son réseau d’experts linguistiques au service du processus pour informer les Etats membres sur les nouveaux noms de domaine  mondiaux (NDM) et encourager d’autres grandes agences des Nations Unies à s’impliquer et établir des groupes de travail en vue d’aider les pays en développement et les pays les moins avancés à participer pleinement à cette avancée.

C’est un progrès que les utilisateurs d’autres alphabets que le romain réclamaient depuis longtemps. D’autant que l’Internet doit être multilingue pour que tous les groupes linguistiques puissent vraiment profiter de son potentiel exceptionnel.
En effet, durant les deux phases du Sommet mondial sur la société de l’information en 2003 et 2005, ainsi que les quatre éditions du Forum sur la gouvernance de l’Internet, l’UNSCO a poussé à ce que la communauté internationale reprenne à son compte quatre principes de base en vue de la création de sociétés du savoir : liberté d’expression, éducation de qualité pour tous, accès universel à l’information et au savoir, respect de la diversité linguistique et culturelle.

Sur les 1,6 milliard d'utilisateurs dans le monde aujourd'hui, plus de la moitié utilisent des langues dont l'écriture n'est pas en caractères romains, ce qui confirme l’intérêt de ce grand changement technique pour la communauté mondiale de l’Internet et surtout pour la promotion et la reconnaissance de la diversité culturelle comme atout indispensable à la compréhension mutuelle et au dialogue entre les civilisations et les cultures.

‘’Promouvoir la diversité culturelle, patrimoine commun de l’humanité, et son corollaire, le dialogue, constitue un véritable enjeu dans le monde d’aujourd’hui, et se trouve au cœur des préoccupations de l’UNESCO et de l’ICANN’’, résume, pour sa part, le président d’ICANN, Rod Beckstrom.

Source: AtlasInfo.fr

Lundi 19 avril 2010 à 11:04

Un groupe d’acteurs et professionnels de l’Internet réunionnais se sont posé la question sur la « libération des noms de domaines  en .re ».

Le 14 Avril dernier, @blogabrac posait directement la question a Mathieu Weill, CEO of AFNIC, manager of .fr registry.

L’Afnic serait complètement d’accord pour libéraliser le .re. Le souci viens du manque de relais pour sensibiliser les élus réunionnais et pour pousser le Ministère. En outre, on apprend que la demande de libéralisation des noms de domaine  en .re par les particuliers a été émis dès 2006, en même temps que le .fr et qu’il a été refusée par la Chambre des Commerce et d’Industrie local.

Cette libéralisation, comme pour les .fr, permettrait aux particuliers qui le souhaite d’avoir leur mel ou site en .re. Certains voit en cela un moyen de d’affirmer l’identité de la Réunion, parfois inconnue et souvent confondue. D’autres réfutent cette idée de libéralisation en songeant d’ores et déjà au risque de cybersquatting de nom de domaine . « qd au risque de squatt on est en 2010 et les règles de l’AFNIC sont plutôt claires sur le sujet http://bit.ly/bnxWHK« de répondre Mathieu Weil via son Twitter.

Le débat est ouvert et les discussions apparaissent sur le web à ce sujet en attendant un éventuel réexamen de la situation par les élus locaux comme semble le préconisé certains acteurs.

Plus de 500 noms de domaines  en.re ont été créés depuis le début de l’année 2010 principalement composés de sites institutionnels, corporates, évènementiels et ou de marques. Il y a actuellement 4520 noms de domaines en .re

Source: i974.com

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