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Toutes les actualités quotidiennes des noms de domaine internet

Lundi 15 novembre 2010 à 10:07

L'Autorité canadienne pour les enregistrements Internet (ACEI) n'accorde plus d'adresses Internet «.qc.ca». En réaction, et de peur de perdre la visibilité du Québec sur le Net, des internautes proposent la création du nom de domaine .québec, qui bénéficierait d'une reconnaissance internationale, rapporte Le Devoir.

L'ACEI, qui est un organisme à but non lucratif, explique le retrait de .qc par un manque d'intérêt de la part des internautes.

«La population a tranché. Il n'y a pas de demandes suffisantes pour ces noms. Leur existence complexifie le système et utilise des ressources. Mais la raison principale, c'est vraiment que les gens ne les utilisent pas. Le peuple a parlé», indique Byron Holland, président et chef de la direction de l'ACEI au Devoir.

En effet, le Québec n'enregistre que 10% des noms de domaine, ce qui représente environ 12 000 «.qc.ca» au maximum. Par comparaison, le registre de l'organisme gère maintenant plus de 1,5 million de .ca.

Même si les noms de domaine .qc.ca ne se feront plus accorder aux internautes ou aux entreprises, l'ACEI continuera d'honorer les droits de leurs titulaires actuels. Le Québec ferait figure d'exception par rapport au reste du monde, puisque la plupart des pays ne distinguent pas les niveaux provincial, du national.

L'obtention du .québec serait possible, car les noms de deux lettres ne sont accordés qu'aux pays (.ca).

Puisque le Québec est une province, il faudrait déposer une demande «d'extension générique de premier niveau» auprès de l'organisme international s'occupant des extensions, qui est l'Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN), explique Normand Fortier, président et fondateur de l'organisme PointQuébec.

Dès lors, il serait possible d'obtenir une adresse telle que «branchez-vous.québec».

Le Québec ne sera pas le seul à faire une demande du genre auprès de l'ICANN, qui sera déposée officiellement en 2011. D'ailleurs, cette proposition a obtenu l'approbation unanime de la part de l'Assemblée nationale il y a deux ans. Des requêtes pour .paris, .berlin et .nyc sont aussi en cours d'approbation.

Source: Branchez-Vous

Lundi 15 novembre 2010 à 9:47

Le fameux Sex.com a enfin été vendu hier. Déjà négocié en 2006 pour une somme avoisinant les 14 millions de dollars, le nom de domaine a de nouveau été mis en enchères il y a quelques mois. Son prix ? 13 millions de dollars environ. Finalement, le nom de domaine le plus cher du monde (après Business.com) n'a pas pris de valeur, mais n'en a pas perdu énormément non plus, malgré la « crise ».

Selon notre confrère anglais The Register, Escom LLC, le détenteur de Sex.com, a accepté l'offre de la société Clover Holdings Ltd. Cette dernière serait une entreprise basée dans l'archipel antillais Saint-Vincent-et-les-Grenadines d'après le Nouvel Obs.

« Les négociations ont nécessité beaucoup de temps et d'efforts des deux parties... [L'accord sur le prix de vente] représente des compromis des deux parties », a précisé Jeffrey Dulberg, l'avocat d'Escom.

Mais pourquoi vendre un nom de domaine si important ? La raison est simple : Escom est dans une mauvaise posture financière. En faillite, la vente de Sex.com a donc été accélérée afin de rembourser ses divers créanciers.

Cette acquisition de Sex.com devrait être finalisée et approuvée la semaine prochaine, le 27 octobre précisément.

Il ne serait pas étonnant, au regard de sa valeur, que Sex.com soit de nouveau mis en vente dans quelques années.

Pour rappel, voici quelques noms de domaines millionnaires :- Business.com : 345 millions de $

- Fund.com : 10 millions de $

- Porn.com : 9,5 millions de $

- Toys.com : 5,1 millions de $

- Vodka.com : 3 millions de $

- Pizza.com : 2,6 millions de $

- Call.com : 1,1 million de $

- Poker.org : 1 million de $

Source: Yahoo News

Lundi 25 octobre 2010 à 11:30

Arnaque Domain Renewal Group

Domain Registry of America (DROA) renouvelle son arnaque avec un nouveau nom de domaine et une nouvelle société du nom de Domain Renewal Group (DRG).

La méthode n'a pas changé, nous vous la présentions dans cette actualité DROA.

Le principe est toujours le même, vous recevez un courrier vous indiquant qu'il est nécessaire de renouveler votre nom de domaine. Voir l'exemple ci dessous :

 

arnaque domain renewal group

 

Bien sûr, vous n'aviez jamais entendu parler de Domain Renewal Group puisqu'ils ne gèrent absolument pas vos noms de domaine. Comme pour DROA, ce mail n'est en fait qu'une publicité vous invitant à renouveler, mais aussi à transférer votre domaine. Les toutes petites lignes illisibles au dos du courrier vous indiquent d'ailleurs tout en détail, mais peu de gens prennent le temps de lire cette prose juridique rédigée en anglais.

Le plus amusant, c'est qu'en contrôlant les WHOIS, on se rend bien compte que droa.com et domainrenewalgroup.com appartiennent bien au même propriétaire domicilié à la même adresse :

2316 Delaware Avenue - Suite 266 - Buffalo - NY, 14216-2687 – USA (voir leur repère - on se demande ce qu'ils font dans ce batiment qui semble désafecté)

voir : WHOIS DROA

voir : WHOIS DRG

Bien sûr, si vous recevez ce courrier postal, ne payez pas ! Ne répondez pas !

 

Source: Axe.net

Lundi 25 octobre 2010 à 11:17

Il reste moins de 5% de blocs d'adresses IPv4 non-alloués, selon Number Resource Organisation, l'autorité chargée de gérer les adresses IP et de les distribuer aux fournisseurs de noms de domaine.

A l'origine, 256 blocs étaient disponibles pour les adresses IPv4. Il en reste une douzaine, dont deux qui sont gérés par l'APNIC pour la région Asie-Pacifique. En clair : « si vous n'avez pas prévu de migrer vers l'IPv6, vous n'existerez pas dans le futur, » selon le directeur de NRO, Axel Pawlik. « Si vous ne vous réveillez pas et que vous ne faites pas quelque chose maintenant, vous en paierez les conséquences plus tard. »

Un message d'avertissement adressé aux fournisseurs de nom de domaine, qui vont subir de plein fouet la pénurie d'adresses IPv4. Il en restait 10% en janvier dernier, il n'y en a plus que 5% aujourd'hui. Certes, la baisse de leur nombre ralentit - ne serait-ce que parce que certains prennent les devants et passent à l'IPv6, qui offre bien plus de possibilités d'adresses libres - mais NRO estime qu'il n'y aura plus d'adresses IPv4 disponibles au début de l'année 2011. Et les autorités d'enregistrement de noms de domaines pourraient être à court en janvier 2012. Voire avant.

Chacun des douze blocs restants représente une capacité de 16 millions d'adresses. Définies dans les années 1980, les adresses IPv4 ne devraient pour autant jamais vraiment disparaître. « Il y aura toujours bien une machine qui aura besoin des deux, » explique Pawlik. Pour autant, la fin des distributions d'adresses IPv4 est attendue depuis longtemps, puisque les premiers appels à passer à des adresses à 128 bits - au lieu des 32 de l'IPv4 - datent d'il y a plus de dix ans. Et que la spécification de l'IPv6 a été publiée en 1995.

Source: Clubic
Auteur:  Antoine Duvauchelle

Lundi 25 octobre 2010 à 11:07

Il y a quelques mois, l'ICANN qui gère, régule et administre Internet (pour faire simple) a donné son accord au lancement d'une extension en .XXX. Évidement tournée vers l'industrie du porno, cette particule ultra parlante fait l'objet de nombreuses tractations. D'un côté les ''pour'' qui y voient un moyen de clarifier les choses et développer encore plus le business et de l'autre, les ''contre'' qui considèrent qu'accepter une telle extension serait comme reconnaitre l'existence et la légitimité d'une telle économie (choking!!). Quoi qu'il en soit, le projet est plus ou moins sur les rails et la société qui s'est vu accorder le droit de gérer la vente des NDD par l'ICANN a déjà lancé les opérations avant même l'accord final (qui doit venir du gouvernement américain). Tablant sur une ouverture au premier trimestre 2011, ICM Registry propose donc de préréserver des noms de domaine. Et le moins que l'on puisse dire c'est que l'emballement est total puisqu'il y a déjà plus de 183 000 noms de domaine prédéposés. C'est tout simplement du jamais vu. Si vous êtes intéressés par ce marché, dépêchez-vous. Il n'y a que 2 contraintes, posséder l'équivalent du nom de domaine visé en .com ou autre et réserver moins de 1000 noms de domaine. A vous de jouer maintenant.

Source: LOL.net

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